A la recherche allié

Je me promenais en ville, en ce début du crépuscule, à la recherche de personnes pour m'aider dans le but que je m'était fixé. Avec l'arrivée de la nuit, les rues sillonnant la ville devenaient sombres , je m'avançais doucement lorsque devant une maison j'entendis des personnes converser.

*Ce doit être le bon endroit pour trouver de l'aide.*

J'entre alors dans ce qui parait être un bar. Je cherche alors une place dans un coin. J'écoutais discrètement les conversation de mes voisins. Sans y faire attention un serveur m'interpelais :

"_ Tiens, vous êtes nouveau par ici vous?
_ Dans un certain sens oui.
_ Alors bienvenu dans le bar de la ville, je peux vous servir quelque chose ?
_ Avez-vous de la viande ?
_ Oui, bien entendu.
_ Alors je voudrais un steak de veau et deux poulets rôtis.
_ Un accompagnement ? demanda-il en souriant.
_ Oui, un steak d'agneau. en souriant également."

Le serveur parti d'un air perplexe. Les regards étaient tourné vers moi mais je n'y prêtais aucune attention et j'attendis ma commande.

September rentra dans le bar, discrète. Elle aimait faire la fête et converser, mais les gens d'ici n'avaient pas le même point de vue qu'elle. Toute sa vie, elle avait été considérée comme une esclave, et elle ne l'oublierait pas. Elle avait aprit à se faire toute petite, mais elle savait que même en évitant les gens, ses blessures ne se refermeraient jamais.
Elle longea le mur et remarqua un jeune homme, assis seul à une table, qui lui semblait différent. Un hybride sait reconnaître ses congénères. Elle s'assit près de lui et regarda l'animation qui régnait dans la pièce. Elle aurait tant aimée en faire partie ... Elle regrètait tant d'être devenue comme Sans Visage, une louve solitaire, sans meute, sans personne ...
Les animaux ont un instinct grégaire, et elle était exclue de toute hiérarchie. Sans en prendre conscience, elle baissa la tête. Des mèches rebelles retombères pour encadrer son visage. Elle fixa ses mains, se rendant compte qu'elle se lamentait encore. Pas question ! Elle se redressa soudain et aspira une grande bouffée d'air.
Non, elle ne se lamenterait pas en pensant à ses amis de cellule ! Ils n'avaient pas voulus la suivre, ils avaient eut peur !
Ses yeux se perdirent un instant dans le vague, devenants presques transparents. Elle se tourna vers l'inconnu lorsque le serveur vint apporter les plats. L'odeur de la viande lui fit se lécher les babines. Si Sans Visage avait pu venir en ville, le louveteau aurait sauté sur la viande sans attendre ! A cette pensée, un fin sourire vint se peindre sur son visage, le premier depuis plusieurs jours ...

En attendant ma commande, je continuais à scruter les alentours. A coté de moi, des têtes d'animaux empaillé aligné comme des trophées de chasse. Un frisson glacée me parcourais le dos. En face de moi un grand comptoir en chêne massif, où de drôle de personnes braillaient pour avoir des verres supplémentaires. Certaine de ces personnes n'arrivaient plus a marcher quant à d'autre, ils ne s'arrêtaient plus de rire. j'avoue quand les voyant, j'esquissais un sourire malicieux. Je sentais que je n'appartenais pas a ce milieu mais mon but était autre que de m'enivrais. Le serveur revenus avec mes plats et dit :

_ "Voila votre commande, voulez vous autre chose ?
_ C'est bien gentil, mais ça ira."

L'odeur que dégageait la viande attiras son attention. Une jeune femme entra dans le bar, je regardais mon assiette un temps puis je la contemplais s'approcher. La jeune femme s'assit prés de moi, elle avait une odeur particulière, celle d'un animal qui m'est familier sans l'être vraiment, elle avais un comportement étrange commandé par la tristesse, je suppose. J'était convaincu que ces intentions sont bonne mais je ne savais pas comment aborder la conversation. . Je commença a mangeais mon repas puis je pris l'assiette ou était le steak d'agneaux, je lui tendis et dit:

_ " En veux tu ? "

September dévisagea le jeune homme à coté d'elle. Un instant, elle eu envie d'accepter sa proposition, mais des années de trahison lui dictèrent le contraire.

"-Non, merci. C'est gentil, mais je ne peux pas accepter, dit-elle. Elle ajouta à voie base : j'irait chasser plus tard."

Elle fit un grand sourire et, génée, observa autour d'elle. Partout, des trophés de chasse étaient accrochés. September trouvait cela dégoûtant. Quant elle chassait, elle ne s'en vantait pas ! Ces gens n'avait pas besoin d'épingler leurs meurtres au mur ! Dégoûtée, elle remarqua alors qu'une tête de loup faisait également partie de l'assemblage.

"- Même les prisonniers de l'asile ne s'en vanteraient pas tant ! marmona t-elle, comme pour elle même."

Rageuse, elle sentit la colère monter. September était une jeune femme lunatique qui changeait vite d'humeur ; aussi fit-elle son possible pour retrouver son calme. Mais elle ne réussit pas. Elle se tourna vers le steak d'agneau.

"- Finalement, j'en veux bien."

September était une jeune femme incontrôlable, farouche, qui ne savait jamais se qu'elle voulait. Elle prit des couverts et s'attaqua au steak comme si elle n'avait pas mangée depuis plusieurs jours. Quand elle eut finit, elle s'essuia la bouche et lâcha un "merci" plein de gratitude. Lorse qu'elle était à l'asile, il n'y avait pas de viande, et il lui arrivait de commètre quelques assassinats bien arrangés ...
Elle reprit sa position initiale, en travers de sa chaise et croisa les jambes.

[ Se n'est pas grave si tu as édité, vu que c'était juste pour des fautes ].

Je finissais mes plats tout en regardant la jeune femme. Je vus dans ces yeux une colère naissante, n'avait-elle pas supportait de voir le spectacle morbide que nous offrait le barman? Je ne supportais pas de la voir ainsi ! Je pris mon sac et je regardais a l'intérieur et la barre de chocolat. Le chocolat étend devenu une denrée rare, je pensais pouvoir lui faire oublie un peu de sa tristesse. Je le sortie de mon sac et avec un sourire qui cachais mes larmes, je le posas prés d'elle. Je lui dit d'une voix tragique :

_"La mort n'est que l'apogée de la haine. Je ne le supporte pas mais la colère ne leurs rendras pas leurs têtes."

Je la regardais encore sans me lassais, la perte d'un biens est futile quant à la joie de la voir heureuse, il est si rare de trouvée des personnes qui me comprennent. Tandis que je la regardais, j'essaie de comprendre le peu de choses que sont esprit voulait bien me laissait voir. Je savais maintenant qu'elle est une hybride, prisonnière depuis bien trop longtemps. Je suis alors sur que je ne suis pas seul a vouloir arrêter cela, que ma cause n'est pas veine. Je doit être fort, que penseraient mes parents en me voyant ainsi. Mon visage d'habitude si sérieux. laissais paraitre un peu de bonheur. Je regardais alors autour de moi et j'aperçus une troupe de musicien, ils interprétaient une danse irlandaise. Je me levais puis m'avançais vers elle et d'une voix basse je chuchotais à l'oreille de la jeune demoiselle :

_"Tu es une évadé, n'est ce pas ?"

Après quelques long secondes a fixais ses yeux, je lui présentais ma main et lui dit d'une voix montrant toute ma noblesse :

_"Aurais-je, l'ainsi honneur de pouvoir danser avec vous ?"

September ravala sa colère devant les tentatives du jeune homme pour lui rendre le moral. La jeune fille n'aimait pas l'idée qu'elle puisse rendre quelqu'un malheureux. Elle fit donc un grand sourire et répondit à son invitation, enchantée :

"- Avec plaisir."

Elle prit la main qu'il lui tendait et se leva. S'approchant de son oreille, elle lui murmura :

"- Oui, je suis une évadée. Elle continua avec un sourire malicieux : je me suis même évadée de deux asiles différents. Si on m'enmène dans un troisième, je vais commençer à croire que je suis réellement folle !"

Elle planta son regard dans le sien et se dit soudain qu'elle avait bien fait d'entrer dans ce bar. Même si elle n'était pas très entousiaste au début, elle se rendit compte qu'elle ne regrètait rien.
A vrai dire, elle qui évitait le contact des autres personnes devait bien avouer qu'elle appréçiait la compagnie du jeune homme ...
Pourtant quelque chose lui disait de s'en alloigner, qu'il allait souffrir comme toutes les autres personnes à qui elle s'était attachée, qu'elle ne lui attirerait que des ennuis. Elle se réconforta dans l'idée qu'elle n'était plus à l'asile et que la vie, désormais, se ferait plus douce. Elle se raccrocha au yeux de l'inconnu comme un noyé se racrocherait à un radeau...

J'étais dés alors, envoutais pas les yeux de la belle inconnus, je souriais comme un enfant a qui plus rien ne pouvait lui arrivais de mieux. Le sourire de la jeune femme arrivait a adoucir les traits de ma misère. J'aperçus de la crainte, celle de souffrir et de faire souffrir. Je m'arrêtais un instant et regardais profondément la jeune femme, avant que je lui dit tout bas et avec toute l'amour que je puisse offrir :

_"N'est nul crainte, je ne le permettrais pas. A personne, quitte a ce que j'en meurt, je t'en fait la promesse ! Un jours tu verras la vie te sourira."

Je sentis mon cœur s'emballait. Je regardais un instant autour de moi, un scientifique ayant ratait sa dernière expérience, voulait noyer ses soucies. Il entra dans le bar et la foule se tuent. En le voyant, j'eus peur qu'il fasse un rapprochement avec la jeune femme, je risquais de la mettre en danger. Pour la protégeait, je devais partir. Je baisais alors la tête et je dit d'une voix triste :

_"J'ai besoin de toi."

Je relevais fier ment la tête, je dit doucement a son oreille :

_"J'ai une cache a l'orée de la forêt. Je t'attendrais dans une ruelle, si tu souhaite m'accompagner, rejoint moi."

Je fixais ses yeux et contemplais son visage radieux une dernière fois. Je l'embrasais et je partis en courant de crainte d'être capturé et de mettre la vie de la belle en péril. Dans les ruelles, je pris l'apparence du loup et je m'assis, le cœur plein d'espoir en attendant la belle jeune femme.

September était perplexe. Elle regarda le jeune homme partir et repéra soudain le sientifique. L'inconnu avait raison ; mieux vallait ne pas réster là. Elle se fit toute petite et se glissa en dehors du bar.
Une fois dans la rue, elle aspira une grande bouffée d'air. Le vent lui apporta une douce odeur, qu'elle reconnu immiédiatement : celle du jeune homme. Elle traversa les ruelles comme son ami le vent le lui indiquait. Ses talons lui éraflaient la peau et elle décida de les enlever et de les garder à la main, marchant pieds nus sur les dalles de pierre.
*Il faudra que je pense à lui demander son nom, la prochaine fois,* se dit-elle.
Le visage au vent, elle arriva dans une ruelle plus sombre que les autre et perçu un mouvement. Une silhouette, dans l'ombre.
Quand elle aperçut le loup, elle comprit soudain de qui il s'agissait. Son coeur battit plus fort de joie.
Elle s'appuya contre le mur et tourna son regard vers le loup.

"- Alors, on va chez toi, maintenant ?"

Je restais assis sur mes quatre pattes. Je ne me lassais pas de la voir, cela faisais longtemps que je m'appréciais plus aucune compagnie. Elle n'est pas comme tous le monde, elle est la seule qui puisse me faire sourire. Je devais l'emmener loin d'ici mais sous ma forme de loup, je ne pouvais parler. Mais a défaut de ceci, mon pouvoir de télépathie, m'offrait de pouvoir communiquer et de lire les pensées. Je m'approchais doucement d'elle et la regardais, j'essayais alors de communiquer avec le jeune femme :

_"Ce n'est pas parce que mes yeux son d'argent, que ma parole n'est pas d'or."

Je voyais au loin la foule nous chercher, nous devions faire au plus vite. Je m'approchais alors de la jeune femme, je baisais la tête ainsi que mes oreille et lui dit :

_"Monte sur mon dos, et accroche toi a moi du plus fort que tu puisse. Je ne les laisseraient pas te faire de mal !"

Je levais alors la tête et je sentie que je pouvais accomplir l'impossible pour pouvoir à nouveaux pouvoir sentir son doux parfum et croisais a nouveaux son regard. Je voulais lui dire mon nom et lui montrais toute la noblesse de mon âme. je lui dit d'une pensée basse et pleine d'espoir :

_"Hayao Mouken, est mon nom."

September remit ses chaussures calmement. Elle avait aprit à ne jamais se précipiter, à faire face à tout. Doucement, elle monta sur le dos du loup et lui répondit à voix base :

"- C'est un joli nom, Hayao."

Elle remarqua que la foule les cherchaient. Voir les gens s'agiter et se faire du mourron à cause d'elle l'amusait toujours énormément. Oui, à vrai dire, elle avait même laisser sa marque quand elle c'était échapée : quelques cadavres aux cous lacérés par des rubans, qu'elle s'amusait à tresser ...
Elle sourit et se reprit en se disant qu'elle n'avait aucune raison de vouloir tuer ses gens. Pourtant, la raison trottait dans sa tête : le scientifique, au millieu du tas ...
L'envie farouche de libérer les autres internes se fit plus forte. Le monde était injuste et immoral. Pourtant, la jeune fille, aussi frêle était-elle, possèdait des ressources et des pouvoirs dont elle seule connaissait l'étendue de la puissance et l'éttendue des dégats.
C'était l'une des éspériences les plus réussient : elle possèdait l'envie de tuer, la force morale et la force physique pour supporter se qu'on lui avait fait, et des dons héréditaires éxtremements puissants.
Heuresement, une part d'elle même était restée normale et September avait refusée de coopérer. Aujourd'hui, elle était contente d'avoir fait ce choix ...

"- Bon, on y va ? demanda t-elle pour balayer ses pensées noires."

Oui, September était une femme qui se cachait derrière l'envelloppe d'un loup pour justifier son envie meurtrière de corbeau ... mais ça, peronne ne le savait.
Elle avait tout entérer, tout camouffler, tout éffacer.

Quand la jeune femme monta sur mon dos, je sentis ça douce peaux me caressait. Cela faisais longtemps que je ne ressentis plus ce plaisir. Je regardais une dernière fois la foule, et je bridais toutes idées de nuire Aux hommes. Je me lanças et quittais la ville et loin derrière moi, les villageois s'arrêtèrent, ce vil scientifique perdait ainsi toute chance de nous attraper.
Je courus de toute mes force, non pas pour fuir la mort, mais pour que la jeune femme se serre plus fort contre moi. Je lui montrais de vastes pâturages les secret de mon âme, mais je tentais silencieusement de pénétrais sont esprit, non pas pour la nuire, mais pour mieux la comprendre. Des morceaux de sont histoire me venait peu a peu. *September, c'est ainsi quelle se nomme !* Et durant le voyage je découvrais, sa triste histoire. Je lâcha alors une larme, nul ne devrais subir ce que September a subit, mais cela n'excuse ses main tachaient de sang, mais avant tous je perçu du bon en elle. Nous arrivions alors à la maison du Rédempteur

[Le Rédempteur et September sont arrivé dans la foret, suite dans la maison du Rédempteur]

[ O.K ]

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